Repas Républicain 14 Juillet 2018

Il a fait chaud,

Dès le matin pour installer les tables, et puis pour le concours de boules. Car, tel un phœnix renaissant de ses cendres, le concours, par la bonne volonté de seize participants (dont deux participantes réquisitionnées à la dernière seconde), a pu reprendre cette année.

Durant la matinée ils et elles se sont affrontés au boulodrome et sur la place du Temple. Les grands vainqueurs sont Alain Masini et Ralph Dumont. Bravo à tous. Le tournoi s’est terminé par un apéritif rafraîchissant et bienvenu.

Après-midi calme et chaud.

16h30 Match de foot à St Pétersbourg   et installation des musiciens  de l’orchestre Flash Back à Boissières. Il fait toujours chaud. 18 h 00 arrivée du traiteur.

A partir de 19h30, apéritif offert par la mairie. Le bar est ouvert dans la salle polyvalente et les boissièrois font des allers et retours  vers la place de la mairie. Les serveurs amateurs ne savent plus où donner de la bouteille. Les glaçons fondent à vue d’œil.  Belle ambiance.

Après un discours de bienvenue, Monsieur le maire Marc Foucon, accompagné de Christian Borg, a remis les lots aux vainqueurs du tournoi de boules. Marcel Aigon a gentiment   demandé que son lot soit remis aux deux valeureuses participantes. Merci pour ce beau geste de fraternité. Cette première partie de la soirée s’est terminée sur une éclatante Marseillaise entonnée avec conviction par l’ensemble des Boissièrois présents.

Les musiciens ouvrent le bal. Les tables ont été installées, les presque deux cents convives sont assis couverts en main, tout est prêt pour le repas.

Mitonné cette année encore par le traiteur Fabaron à Lasalle, le repas a été apprécié par les habitants. Salade périgourdine,  porcelet au crémé de cèpes des Cévennes et Tropézienne. Il ne sert à rien de préciser que toutes les assiettes sont reparties vides après chaque plat.

Une légère fraîcheur  s’étant installée après le repas, place à la danse avec les musiciens et la chanteuse de l’orchestre Flash Back qui, avec les tubes des années 80 et d’autres bien-sûr, ont emmené les plus courageux et infatigables danseurs jusque vers deux heures du matin.J’espère, aimables lecteurs, avoir pu, au travers de ces quelques lignes, vous exprimer toute la gaîté qui a régné ce soir-là sur la place de la Mairie.